Réveil bien matinal, mais pour la bonne cause !

Hier soir, après le concert des Zourit Mixt, j'avais bien pensé à mettre le réveil à 6 heures.
Même si ça a été un peu délicat pour se lever (couché vers 2 heures), c'était pour la bonne cause.
Je suis en effet allé accueillir la famille Furcy, qui a débarqué pour un mois, en provenance du Costa Rica. En fait, c'était tout un comité d'accueil qui s'est présenté, chacun dans son coin.
Cathy ne s'attendait pas à un tel accueil, ses yeux non plus :-)
J'ai été surtout impressionné par Mathias, qui ne fait plus du tout gamin, et qui a facilement pris une tête.
Je ne suis pas resté très longtemps, la famille étant là quasiment au complet.
Mais on va se revoir avant la fin du mois de janvier. Ou alors, on est des manches !

Les Zourit Mixt en concert

Hier soir, suite un message reçu via une liste de diffusion, je suis allé voir les Zourit Mixt en concert au 16 Bar.
C'était bien cool. Par rapport au concert précédent, on peut constater des progrès. J'aime bien les fins super carrées.
On se retrouvera le 20 janvier à Cilaos, avec les Souffleurs : ça va donner !

Ouf !

Ce matin, la fourrière m'a appelé : on a retrouvé Trompette !
C'est une dame du Moufia, le quartier qui jouxte le mien, qui l'a rapportée.

Le plus fort, c'est la façon dont ça s'est passé.
En effet, peu après mon retour à la maison, je récupère mon téléphone dans ma voiture : deux appels en absence. Un numéro que je ne connais pas. Je rappelle.


- Allo ?
- Oui salut, c'est Jennifer, tu te rappelles ? Je suis une collègue de Julien.
- Ah oui oui, je vois qui tu es.

Et là, elle me raconte.
Le veille au soir, elle promenait Kalou, sa petite chienne.
Arrive un gros truc sombre. Une bête. Un chien.
Oh, un chien avec des yeux de différentes couleurs.
C'est Trompette.
Le plus rigolo, c'est que Jennifer ne la reconnaît pas, alors qu'on avait fait quelques balades ensemble l'an dernier. Elle ne fait pas le rapprochement.
Les deux chiennes se reniflent. Ca se passe bien.
Finalement Trompette les suit et se faufile dans l'appartement, où elle trouve une gamelle et elle boit boit boit. Elle erre depuis le 24 au soir.
Finalement, comme elle reste allongée devant la porte, elle passe la soirée dans l'appartement où elle joue avec Kalou. Elles s'amusent bien toutes les deux.
Jennifer ne reconnaît toujours pas Trompette.
Avec son mari, ils se disent "Ah ben quand même, en bonne forme comme elle est, elle doit être à quelqu'un, cette chienne. Elle a pas de tatouage, elle doit avoir une puce."
Et Jennifer dépose la chienne à la fourrière.
Et là, la dame reconnaît la mémère : "ah, mais c'est Trompette !"
Et Jennifer : "Bon dieu, mais c'est bien sûr !"

C'est petit la Réunion...

Ca y est, je suis inscrit

Mais où donc ?
Eh bien sur les listes électorales.
Il m'a fallu pour cela monter jusqu'à la mairie annexe de Bois de Nèfles.
A quelque chose malheur est bon : contrairement à celle de Sainte-Clotilde, où je m'étais tout d'abord rendu, il n'y avait personne à y faire la queue.
Résultat : ça a duré à peine 10 minutes. Et la carte arrivera en temps utile dans ma boîte à lettres.

Marre !

Trompette s'est re-rebarrée !
Je viens de rentrer de mon très sympa réveillon : plus de Trompette !!!
Elle a visiblement réussi à se libérer de son collier (je le pensais assez serré), puis elle a trouvé un autre passage pour quitter le terrain. Apparemment, elle a réussi à contourner le mur, d'une certaine façon.
Du coup, je vais être quitte pour retenter un passage à la fourrière.
Là, je pense qu'elle va en prendre pour son grade, la petite saloperie !
En admettant que la fourrière l'ait attrapée !

Roi du pétrole !

Hier, Frédéric (encore lui), est venu avec son fiston finir ce qu'il avait commencé la veille. Non non, pas le barbecue de concours : la couverture de la terrasse !
Bon, ce n'est pas encore fignolé, mais il ne manque plus grand chose.
En tout cas, j'ai déjà accroché le hamac, comme on peut voir. J'y ai déjà fait deux siestes !

Et hier soir, j'ai invité Philippe, Fabien, Fred et Jean pour un apéro dînatoire.
Bon, il va falloir une table plus pratique que celle qu'on voit sur la photo, mais c'est pas urgent : on y a quand même tenu à cinq, avec Trompette qui tournait autour.
Les vacances commencent bien !

Ca c'est du barbecue, ça madame !

A partir du bidon "Tambours du Bronx" récupéré il y a bien longtemps, et qui traînait là, Frédéric (mon propriétaire) m'a fabriqué un gros barbecue, assez grossièrement certes, mais en moins d'une heure. J'ai juste ajouté des charnières pour qu'il soit fermable.
Il manque encore une poignée et un système pour que le poids du couvercle ne fasse pas sauter les charnières en question.
Je pense aussi ajouter une sorte de grille, ou au moins une plaque d'acier, pour que le charbon soit plus près de la grille et qu'on en consomme moins.
Quoi qu'il en soit, ça risque de griller pas mal très prochainement !

J'ai enfin récupéré ma voiture !

Enfin !
Je suis repassé par le garage pour récupérer mon bolide italien.
La panne venait d'un capteur situé au niveau du vilebrequin, m'a-t-on dit.
230 Euros quand même.
Mais bon, maintenant le moteur tourne rond, je peux accélérer sans me dire que ça va me lâcher sur la file de gauche. Et ça va sans doute aussi réduire ma consommation.
Bon, finie la clim et la direction assistée de la voiture de Pascale, mais bon, c'est comme ça. :-)

La joie dans le stade !!!!

Là, je suis passé, un peu par hasard, à la fourrière.
Trompette était là !
Curieusement sans collier. Quelqu'un a du le lui enlever.
Autre truc embêtant : le détecteur de puce électronique de la SPA (la puce remplace le tatouage : ça coûte le même prix et c'est mis en place en 30 secondes) ne l'a pas repérée du premier coup.

Quoi qu'il en soit, je vais retourner au refuge, rendre le bout de laisse qu'on m'a prêté pour faire un collier provisoire et offrir un sac de croquettes pour les autres chiens qui restent encore là-bas.

Si un jour on m'avait dit que je pleurerais à la vue d'un chien...

Trompette a disparu...

Quand je suis rentré du boulot hier après-midi, elle n'était plus là. Elle est repassée par le même endroit du grillage, virant le bout de contreplaqué que j'avais mis pour boucher le trou.
Sauf que là, personne n'est passé pour ma dire qu'il (elle) l'avait vue.
J'ai fait des tours et des tours à pied dans le quartier : rien.
J'ai signalé la disparition chez mon vétérinaire. Chose curieuse, il n'y a pas de "signe particulier" sur la fiche signalétique.
J'ai bien peur de ne jamais la revoir...

Popeye Doyle, vous connaissez ?

C'est le personnage interprété par Gene Hackman dans "French Connection".
Eh bien hier, je me suis un peu senti comme lui.
Vers le début du film, il court à perdre haleine déguisé en Père Noël.
Je me suis retrouvé dans sa situation, sauf que moi, ce n'était pas pour attraper un dealer, mais pour échapper à deux enfants.
En effet, hier, le Père Noël est passé au lycée (photos à venir). Je suis allé me déguiser dans une salle d'allemand et suis descendu vers le réfectoire, où on avait réussi à cantonner les enfants du personnel du lycée. Là, je les ai obligés à me suivre en direction de la salle des profs où, avec Lucienne et Laurence, nous avions disposé sapin et cadeaux.
J'ai alors procédé à la distribution, effrayant certains bambins, tandis que d'autres me reconnaissaient (quand je dis d'autres, je pense en fait à Émilie et Thomas Vélia).
Le tout dans un costume 100% polyester, qui gratte, tout ça, avec un pantalon qui descend, le lien servant à le régler ayant lâché à la première tentative de serrage. La barbe était également plutôt sommaire, mais bon, je m'en suis pas mal sorti.
C'est quand j'ai dit "au revoir les enfants" et que j'ai voulu retourner discrètement me changer, que j'ai entendu deux petites voix : "Vite, on va le rejoindre, il va nous parler rien qu'à nous !"
Je suis passé par un escalier : ils m'ont suivi. Puis j'ai emprunté une coursive : ils couraient toujours. Dès que j'ai été un peu hors de vu, j'ai sprinté à fond, avec le pantalon pas franc et des chaussures trop grandes (j'avais pensé utiliser les chaussures blanches de l'armée, qui me restent sur les bras depuis que la musique régimentaire n'est plus et que je n'ai pas réussi à rendre à Éric Daubin; comme ça, ça faisait un indice de moins pour me reconnaître).
J'ai eu juste le temps de verrouiller la porte derrière moi et de me planquer dans le coin où on ne pouvait pas me voir.
Bien m'en a pris : on m'avait vu entrer. Presque aussitôt, on a essayé d'ouvrir la porte.
"Il rentré là !"
"Ah ben non, c'est fermé. Il a disparu"
"Il est vraiment magique"

J'ai hâte de voir ce qu'à donné le film qui a été fait, ainsi que les photos !

La fin d'une machine, parfois, ça fait bizarre.

En effet, quand, mardi soir, je me suis retrouvé avec Lucienne et Charles à finir d'emballer les cadeaux de Noël pour le lendemain et que j'ai voulu imprimer les étiquettes avec les noms des p'tits nenfants dessus, je me suis rendu compte que mon vieil iMac m'avait lâché.
Mon premier ordinateur, acheté lors de mon stage, en janvier 2001. Jamais le moindre problème avec, pas de surchauffe malgré un disque plus rapide que celui d'origine et aucun ventilateur à l'intérieur.
Va falloir que je l'inspecte de plus près, voir ce qui a pu grillé, mais j'ai peu d'espoir. Le dur doit être récupérable, même s'il ne doit pas y avoir grand chose que je n'ai pas en double par ailleurs.

Grosse frayeur samedi

Samedi matin, je rentre à la maison et là, alors que je vais au portail, pas de Trompette. Vu qu'elle a l'air d'avoir arrêté de creuser des tranchées dans la pelouse ou au pied des palmiers, j'avais pris l'habitude de la lâcher en mon absence. Comme ça elle peut se mettre à l'ombre où elle veut, bouger comme elle en a envie, tout ça.
Or là, pas de Trompette, donc.
A ce moment-là passe une jeune fille qui doit habiter par là. Elle me dit "Il est pas du côté du Score, votre chien ? Avec les deux yeux pas pareils ?"
La garce s'était échappée !
Me voilà parti, ne sachant pas trop quoi faire, après avoir récupéré la laisse dans la maison, sans prendre le temps de vider le coffre ("où est-ce que je vais la mettre pour la ramener à la maison ??").
J'arrive au Score, me gare sur le parking : rien.
Je vois un homme qui promène son chien, peut-être que ? Non plus.
Nouveau tour en voiture dans le quartier, en montant : rien.
Je retourne au Score, cause avec un groupe de jeunes : ils n'ont rien vu, mais prennent mon numéro de GSM au cas où.
Je remonte en voiture et vais cette fois plus bas, passe devant un vendeur de poulets, avec des gens devant. Ils ont peut-être aperçu Trompette ? Comme j'ai dépassé le stand, je décide de faire demi-tour plus loin, vers EDF. Il y a là un lotissement.
Alors que je fais mon demi-tour, j'entends aboyer (j'ai gardé les vitres ouvertes). Ca ne sonne pas comme Trompette, mais je regarde dans la direction d'où ça venait. Et là je la vois !
Elle avait fait aboyer un chien qui était chez lui.
Je l'attrape par la peau du coup et la fout dans la voiture.

C'est après l'avoir attachée (et flanqué quelques coups de laisse sur la couenne) que je vois par où elle était passée : elle a viré quelques canisses et a réussi à passer à travers le grillage, pas très costaud, il est vrai.
Elle voulait juste me suivre !

Du coup, j'ai repris l'habitude de l'attacher quand je pars.
J'ai bien fait une réparation dans le grillage (photo publiée prochainement), mais je ne suis pas bien sûr que ça tienne et n'ai pas envie de refaire l'expérience, des fois que je la retrouve en vrac après s'être pris un pare-chocs dans le buffet.

L'amicale investit !

Depuis hier, l'amicale est propriétaire de sa machine à café. C'est le même modèle que l'ancienne, sauf qu'elle est à nous. Je l'ai eu d'occasion pour 400 Euros, alors que, neuve, elle en coûte 1200.
L'intérêt c'est que le café nous coûtera moins cher à l'achat.
Avant, avec une machine en dépôt, nous étions tenus d'acheter un "kit" de café (5 kilos de café en grains, 500 gobelets, 500 sachets de sucre, 600 mélangeurs) tous les mois, ce qui faisait qu'on avait un peu se stock de café sur les bras. Là, si je commande la même chose, ça me coûtera 30 Euros de moins. Et je pourrai commander des paquets de gobelets quand j'en aurai besoin ou un seul paquet de café si je veux. Ce sera plus souple.
Et ça va m'augmenter ma marge. Donc ça nous donnera plus de possibilités pour offrir des petits cadeaux, comme par exemple lors de l'arbre de Noël (la première aura lieu mercredi qui vient !).

Donc, je suis plutôt content.

Des nouvelles de ma voiture

Hier, je suis passé au garage pour prendre des nouvelles de ma voiture.
Ca fait un mois (hier) que je la leur ai confiée.
Là, ça devrait plus trop tarder : apparemment, il s'agit d'un problème sur un capteur de vilebrequin, pièce en commande.
Si tout se passe bien, je devrais récupérer mon char vers le 18-19 décembre, soit le jour des vacances.

Photos de la cérémonie d'hier

Voici quelques images de la cérémonie d'hier. Elles m'ont été envoyées par Pirate, l'homme au chapeau et taste-vin sur la photo ci-dessous.

Vue d'ensemble des Souffleurs, avec les membres de la Confrérie du Pied de Raisin en arrière-plan.

Un plan plus serré, avec les membres qui se mettent en place, en colonne.

Il y avait en effet la télévision (RFO) et il fallait que tout cela ait de l'allure.
Après divers discours, prestation de serment (un peu cucul, voire pas terrible, surtout quand les gens jurent en levant bien le bras droit, coude tendu), etc. ont eu lieu quelques intronisations.
Parmi elles, celle de notre ami Christophe, vétéran rugbyman (comme François et Pirate), à qui il arrive de chanter avec nous. On le voit attaquer de front un verre de blanc de Cilaos.

Puis Pirate a parrainé notre François préféré, qui représentera les Souffleurs dans la confrérie.

Là, Pirate fait son éloge, retraçant son brillant parcours, tant musical que professionnel et sportif.

Il enfile sa cape.

C'est pas simple.

Ca y est !

Une fois les intronisations terminées, Christophe chante Toulouse avec nous, puis quelques chants basques.

Le tout est filmé par RFO pour l'émission de Gilles Malet "Par les hauts et par les bas"

Concert dans un cadre grandiose

Aujourd'hui, avec les Souffleurs, nous avons joué sur la Plaine des Sables !
(image trouvée sur internet; on était sur la gauche de la piste)
Bon, j'avais bien pris mon appareil photo, mais, hélas ! je n'avais pas remis la carte dedans (la classe...)
C'était à l'occasion d'une série d'intronisations dans la Confrérie du Pied de Raisin de Cilaos : en gros, des gens se déguisent, prennent des airs et se parrainent entre amis, le tout avec l'air vachement sérieux.
Notre chef François a d'ailleurs été intronisé, parrainé qu'il était par "Pirate", un des membres des Karamballs (les vétérans du XV Dyonisien).
Le temps était superbe, il y avait des parapentistes (dont un gros connard qui nous bien cassé les burnes et a été jusqu'à renverser son verre sur moi, pété qu'il était; bon, j'ai rien contre les gens bourrés, sauf s'ils sont lourds) qui sautaient des remparts, une calèche avec des chevaux et RFO télé.
Comme on était filmés, on a du rejouer le même morceau au moins cinq fois, histoire que le son soit raccord.
Après, comme la parenthèse faite ci-dessus a pu le suggérer, on a mangé, et bu, bien sûr.
Pour la route (je ne conduisais pas sur la plus grande partie du parcours), j'ai eu le droit de goûter la "cuvée spéciale", un blanc liquoreux qui passait tout seul.

On va remettre ça, en plus long, à Cilaos, les 20 et 21 janvier.
Au programme, animation, retraite aux flambeaux, entrée et sortie de messe (ils sont indécrottables !), etc. Hébergement en gîte, un dortoir de 20 places, a priori.
On va essayer d'en profiter pour faire un concert classique des Souffleurs dans l'église de Cilaos.

Le repas a aussi été l'occasion de prendre contact avec des parapentistes sympas, sérieux et tenant le vin. Il se pourrait qu'on joue pour eux lors d'un prochain championnat. On a aussi causé avec un caviste de Saint-Pierre, qui nous verrait bien animer sa soirée Beaujolais Nouveau 2007. On verra bien.

Comme quoi, la musique directe, sans ampli, avec un groupe opérationnel en 15 minutes une fois sur place, souple quant à l'emplacement, tout ça, c'est cool ! :-)