C'est réparé !

Ca y est, la lunette arrière de ma voiture est réparée !
75 Euros de franchise quand même...

Passage à RFO

Ce matin, RFO (avec Dominique Maraval au micro) est passée au lycée.
Auparavant, le proviseur avait accueilli les élèves allemands. Lui avait succédé Mme Bayard, CPE, et Mme Ménestrier, infirmière. Puis j'avais fait visiter les locaux.
L'interview une fois faite, on a eu cours.
Et, vers midi, coup de fil du JO : il m'avait vu à la tévé !
Pas de bol : Maraval m'a baptisé "Philippe Le Rigolleur".
Rhalala, quelle distraction !

Ils sont arrivés !

Ca y est !
Après un premier report en mars pour cause de vilain moustique, les correspondants de Rüsselsheim sont arrivés avant-hier matin à l'aéroport.
Ainsi, samedi, les familles les ont accueilli à Gillot, pour un week-end en famille.
Quant à moi, j'ai retrouvé avec plaisir Jens et Margret. Laurence était là aussi, qui a fait le guet devant la porte des arrivées tandis que j'accueillais les familles.
Ensuite, direction chez moi pour une douche bien méritée.
Puis déjeuner au DCP.
Après, Laurence a conduit Margret et Jens chez Philippe (Guilbert), tandis que j'allais rejoindre les Souffleurs pour animer l'apéritif d'un mariage.
Une fois terminé, je retournai à Bagatelle pour récupérer mon invité.

Dimanche, marché du Chaudron puis grillades à la maison, avec Philippe (Rouet), Laurence et Pascale.
Petite promenade sur le Barachois pour voir le soleil se coucher, en suite de quoi, Jens et moi nous sommes grillés un morceau de marlin : avec du citron, c'était délicieux.

Là, c'est lundi matin et on va bien voir comme s'est passé le week-end: en tout cas, personne ne m'a appelé pour me dire qu'il y avait un problème.
Par contre, j'ai reçu au marché un appel de RFO !
On va venir nous filmer ce matin, vers 9 heures. Et qui sera de service ? Dominique Maraval, mon élève au tuba :-)

Photos des dégâts et des mesures prises

Tout d'abord, voici l'allure de ma fenêtre. J'ai enlevé les bouts qui dépassaient sur les lieux où j'ai récupéré la voiture. On peut voir des petits morceaux de verre sur la plage arrière.

Le caillou utilisé, à côté d'une pièce de 10 centimes d'Euro.

Le soir même, j'ai bricolé cette protection, utilisant pour cela un carton du Savour Club. Comme quoi, il est intéressant de boire du vin :-).

L'après-midi, un passage par Mister Bricolage et j'achète du "Power Tape" et un bout de plexiglas. Malheureusement, celui-ci est seulement translucide : je peux pas me servir de mon rétroviseur central.

Qu'à cela ne tienne : il me reste mes "vitres" en plexiglas. Plus précisément, je me sers d'un morceau de la première version, la plus fine. On reconnaît d'ailleurs bien la forme du morceau.
A l'aide du papier collant, je me suis fait une jolie lunette arrière rectangulaire.

La même chose, vue de l'intérieur. Là, on peut voir à travers, c'est mieux.

Mais, me direz-vous, pourquoi tant de travaux ? En effet, je suis passé chez "France Pare-Brise" en sortant du boulot.
Seulement, ce créneau semble particulièrement porteur : il y a des voitures partout, qui attendent un nouveau vitrage. L'employé m'a dit que c'était pendant la période des vacances scolaires qu'il y avait le plus de verre brisé.

Tout ça pour dire que, bien qu'on ait trouvé le dernier exemplaire de lunette arrière disponible dans l'île chez FIAT, il n'aurait pas été possible de faire la réparation avant lundi après-midi. Et moi, je ne suis pas disponible avant mercredi après-midi.
Donc ce sera mercredi 13h30.

Y'avait longtemps...

Ce soir, la route du littoral était fermée quand je suis allé à la répétition des Souffleurs. Du coup, je me suis garé le long d'un trottoir et ai fait le reste du chemin à pied.
Eh ben, lorsque je suis retourné à ma voiture, plus de lunette arrière, mais un joli petit caillou sur la plage arrière.
Des bouts de verre partout, évidemment.
Et rien de volé.
Juste un carton, comme ça.
Alors qu'il en reste encore du précédent bris de verre.
J'ai vraiment que ça à foutre.

Je mettrai sans doute des photos en ligne très bientôt, dont celle du caillou en question.

Si ça continue, je vais m'importer un antivol made in South Africa, un machin qui fait lance-flammes. Ca sert à rien, mais au moins, l'idée que le connard qui s'est amusé à mettre du verre partout se soit fait cramer la tronche, ça doit soulager.

OUF !!!

Enfin !
Ce matin, j'ai enfin trouvé une quatorzième personne pour accueillir une Allemande.
C'est une élève de seconde LV1 que Philippe a en cours, et qui m'a l'air très gentille.
Je commençais presque à désespérer.
En définitive, les correspondants sont répartis sur 9 classes différentes.

Chef malgré moi : deuxième

Tout comme il y a deux semaines, en l'absence de Bruno, malade, et de Pit, pas prévenu et trop fatigué pour participer à la répétition, je me suis retrouvé à diriger l'harmonie.
Cette fois-ci, il y avait les flûtes en plus, et je me suis placé sur l'estrade du chef, assis sur une chaise, tenant le tuba d'une main, c'est-à-dire avec le pouce et l'auriculaire de la main droite, la gauche battant la mesure.
On a réussi à avancer pas mal, le tout dans le calme et la concentration.

Ben, figurez-vous qu'on y prend goût, à cette histoire !

Veau Marengo chez Manu : tranquille !

Hier soir, j'ai fait le cuistot chez Manu et Eric.
Ca faisait un moment qu'on en avait parlé, on a enfin trouvé un créneau : hier soir, j'ai donc cuisiné du veau Marengo pour sept. J'avais prévu pour 10, ben c'était une bonne idée : on a tout fini !
Auparavant, on avait fait une petite répétition rocksteady. D'ailleurs, David nous a annoncé qu'on avait une date : ce sera le 13 octobre au Kabardock !
Youpi !

Pas de ska ? Bon, eh bien du reggae !

Mercredi, la répétition du Rocksteady n'a pas eu lieu. Mais comme je n'avais pas été prévenu, je me suis retrouvé tout seul au Palaxa.
Là, j'ai finalement enregistré deux ou trois trucs pour Eddy, le p'tit gars qui nous installe le matériel quand on vient répéter. Il joue dans un groupe de reggae, mais trouvait que les cuivres au synthé, c'est pas terrible.
Je suis resté une petite heure.
Ce que j'ai fait sera d'abord sur une maquette, un trois titres si j'ai bien suivi.
Puis il y aurait des séances d'enregistrement au mois de janvier. Sortie de l'album prévue en mai 2007.
On verra bien.

Après le ballon ovale, on a failli jouer pour le ballon rond

Avant-hier, j'ai reçu un appel de la fédération de football de la Réunion.
J'ai rappelé hier (j'avais eu du mal à noter le numéro à la première écoute).
En fait, mon numéro avait été transmis par un cousin de Julien Weisse.
On m'a demandé des renseignements à propos des Souffleurs, en vue d'une animation le... 30 septembre.
Pas de bol pour eux, c'est le jour de l'anniversaire du XV Dyonisien.

Ce n'est que partie remise.

Rencontre typique Réunion

Hier, réunion avec les collègues de collège afin de mettre au point l'emploi du temps de notre future assistante. Cela se passait chez Irène, qui bosse au collège Jean d'Esmes. Et il y avait le prof du collège Beauséjour, que nous n'avions pas encore rencontré.
Et hop ! Voilà ! Une nouvelle rencontre typique d'ici, c'est-à-dire avec quelqu'un déjà rencontré longtemps auparavant en métropole.
En effet, le collègue en question n'est autre que Pierre Hardy, qui a été en licence en même temps que moi à Rennes ! Il est arrivé dans l'académie l'an dernier. Il travaillait alors à Cerneau, le collège de François, un des rares avec qui il a d'ailleurs gardé le contact.
Sachant que j'étais en licence en 1993, ça remonte à 12, 13 ans.
Bon, à l'époque, on ne faisait que se cotoyer en cours, mais c'est quand même rigolo de se retrouver ici et de parler entre autres de notre prof de version de l'époque.

Après-midi musical

Septembre commence fort.
Aujourd'hui, premier dimanche du mois, la FMR organise ses petits concerts au jardin de l'état, en partenariat avec le muséum d'histoire naturelle.
Tout d'abord, je me suis retrouvé comme remplaçant dans le quatuor de trompettes, vu qu'ils n'étaient que trois. En plus, il y avait Joseph à la clarinette.
Pas mal de déchiffrage, également pas mal de plantes : comme disait Pit à la fin de certains morceaux "bon, au moins c'est fait".
Puis, après le quatuor de sax, qui a re-re-re-rejoué ses deux tangos, ce fut le tour des Souffleurs, quasiment au complet (je dis "quasiment" mais je dois pas être loin du total, en fait) : deux trombones, deux cors, quatre trompettes, deux tubas, batterie.
On a joué à cette occasion des morceaux pour la première fois en public : bilan globalement positif.
D'ailleurs, Pit va nous rejoindre la semaine prochaine, ça fait plaisir.