Carte d'électeur

Ca y est, j'ai reçu aujourd'hui ma carte d'électeur.
Le truc que je ne comprends pas bien, c'est qu'il y avait six ou sept autres enveloppes avec carte d'électeur dedans, à la même adresse que moi.
C'est bien bizarre, vu que je suis le premier locataire à cette adresse.

Le bac à Maurice !

Ce matin, j'ai trouvé un courrier du rectorat m'informant que ma candidature a été retenue : cette année, je vais faire passer le bac à l'île Maurice !
Moi, je dis : youpi youpi !
Bon, apparemment, le lycée Labourdonnais est à Curepipe et ce serait pas un coin super super.
Mais bon, ce sera l'occasion de mettre les pieds là-bas autrement que pour le transit :-)

Mon fond d'écran actuel

J'ai pris cette photo ce matin, j'en ai rogné un bout.
Et je m'en sers comme fond d'écran.
J'en suis assez content donc je le mets ici :-)

Ben, et les bananes, dans tout ça ?

Elles poussent !

Lui, je pense pas qu'il soit mort d'une crise cardiaque

Le tangue du jour (avant-hier, en fait), dans sa petite pelle, avant que je le balance dans la ravine, là d'où il vient, et où il aurait du rester : il y aurait peut-être fait de plus vieux os.
Mais il savait pas que Trompette était là.

La BA du jour

Ce midi, j'ai changé la roue arrière droite d'une collègue qui avait roulé sur un clou.
En plein soleil et avant de manger, ça ouvre l'appétit.

Le tangue du jour !

Ce matin, j'ai trouvé un nouveau tangue sur la pelouse.
Il y avait longtemps que Trompette n'avait pas sévi de la sorte (je ne pense pas que l'animal se soit déplacé jusqu'ici de son propre chef pour mourir)
On peut constater que celui-ci a eu plus de temps pour grandir que ceux de la série précédente.

Le régime continue

La preuve !

Enregistrement avec les Souffleurs

Depuis avant-hier et jusqu'à ce soir, nous faisons un enregistrement avec les Souffleurs. Ca se passe au Kabardock, au Port. On est dans la grande salle de concert. En gros, on commence à 19h00 et on dispose de la salle jusqu'à 23h00.
Ca se passe bien, mais ça caille : la clim marche en permanence, à tel point qu'hier j'ai mis un pantalon pour être à l'aise.
Hier, alors que je papotais avec José (je le chauffe pour aller au Port), je me suis fait flasher, frôlant les 120 à un endroit où la limite était de 90. Bien fait pour moi.

Une fois les enregistrements terminés, on fera une séance de re-recording chez l'ingénieur du son, pour certains solos notamment.
Après, quand on aura le master, il faudra s'occuper de la réalisation du CD.

On aperçoit les bananes !

Là, on peut voir les futures bananes, qui sont dévoilées peu à peu.

Maud Fontenoy est arrivée !

Ca, c'était jeudi matin, vers 11h00, au Port.
On n'a pas pu s'approcher davantage.

La tuile !

Hier soir, je reçois un coup de fil qui me réveille.
Il est 2h15. C'est Philippe, il est à Saint-Gilles et on lui a piqué sa voiture.
Avec dedans le chéquier de l'association, ses papiers, son chéquier à lui, ses clés de maison, son pupitre, une bouteille de Vouvray et son trombone !
Je suis allé le chercher là-bas puis, à tout hasard, on est allés rôder du côté des boîtes de nuits, des fois que... Chou blanc !
C'est vraiment une grosse tuile.
Bon, je vais lui prêter la Fiat. Je me demande d'ailleurs si ce ne serait pas une voiture destinée au dépannage en cas de vol : c'est comme ça que je l'ai récupérée.

Bientôt des bananes, c'est sûr !

La chose oblongue que l'on voit ci-dessus est appelée ici "baba figue".
C'est ce qui apparaît en premier sur la tige qui porte les bananes. Ce sont les fleurs mâles. Les fleurs femelles donnent les bananes.
Restez à l'écoute, je vais vous faire suivre l'évolution de mon régime !
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Rectificatif : il ne s'agit pas ici (encore) du baba figue lui-même, mais de feuilles qui enveloppent les fleurs, dont le baba figue en question.

Nouvelle voiture

Comme je l'avais dit il y a quelque temps, la boîte de vitesse de la FIAT était en vrac, le problème de ralenti jamais résolu (après un mois et demi au garage et 230 Euros quand même). J'ai donc changé de voiture. Ca va faire deux semaines.
Bien sûr, une occasion. Et celle-là est bien.
C'est une Clio utilitaire. Bon, il n'y a que deux places, mais ce n'est pas bien grave.
Par contre, grand coffre ! Je peux ainsi y mettre mon euphonium sans problème, avec plein d'autres choses si je veux.
Et puis j'ai la direction assistée, une radio qui reçoit nettement mieux que celle que j'avais installé dans la FIAT.
Et un moteur diesel (carburant pas cher, consommation moindre que celle du petit moteur de la FIAT) sans électronique. Et ça, c'est bien cool :-)
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Bon, il me reste à trouver un moyen de me débarrasser de la Fiat, mais, depuis que j'ai mis une annonce, je n'ai pas le moindre appel.

Il y avait longtemps : répétition avec l'EIB

Ce matin, pour la première fois depuis la mort de Marcel, j'ai participé à une répétition avec l'EIB (Ensemble Instrumental de Bourbon).
C'était bien sympathique.
J'avais à me coltiner des parties de cor, avec des transpositions compliquées. Mais ça s'est plutôt bien passé.
Tout cela pour une série de concerts prévus en juin.
Prochaine répétition en mai.

Concert d'hier soir : bof

J'ai trouvé le concert décevant pour différentes raisons :
1- J'ai pas bien joué. J'ai raté des départs, fait des fausses notes. En plus, on était tous plus ou moins fatigués.
2- L'endroit ne s'y prêtait pas des masses : les gens ne font que passer, ceux qui restent sont assis et mangent. Du coup, il n'y avait quasiment aucune ambiance.
3- Le service était lent et, plus généralement, inefficace : on a ainsi eu des pizzas, au bout de longues minutes, on n'avait pas de couverts. J'ai donc du recourir à mon couteau suisse.
4- Plus généralement, les gens qui y bossent ne sont, à quelques exceptions notables, pas aimables. On a vu le patron une fois, quand on est arrivés. Puis il n'a pas pointé son nez une seule fois. Ce genre de gens donnent l'impression d'inviter des groupes à se produire chez eux, mais de ne plus en avoir à foutre une fois que les gens sont là.

Il est donc plus que probable qu'on n'y remettra plus les pieds, pour s'y produire en tout cas.

Concert de Saint John ce soir

Ce soir, Saint John se produit au Mezzanine Café, le café qui a ouvert récemment au Cinépalmes, à Sainte-Marie.
Il paraît que le vendredi soir, c'est plein de monde. Je n'y ai pas encore mis les pieds, mais on m'en a dit le plus grand bien.
Bon, a priori, nous devrions jouer plus ou moins en extérieur, donc ce sera plus un concert qu'un spectacle, comme Fabien le prévoyait au départ.
Qu'à cela ne tienne, ce sera l'occasion de créer un nouveau morceau, et ça, je trouve que c'est plutôt une bonne chose.

Bientôt mes premières bananes ?

Sur la photo ci-dessus, on peut apercevoir, partant du milieu du bananier, une tige avec des teintes rosâtres, et qui ne m'a pas l'air de se terminer comme toutes celles qui donnent des feuilles. Je pense que ça pourrait être une tige porteuse de bananes !
Je vais surveiller ça de près : ça risque d'être mon premier régime depuis que je suis à la Réunion :-)

Trompette et les tangues: je fais le point.

Eh oui, car depuis qu'elle s'y est mise, on en est déjà à sept petits.
Parmi ceux-ci, un qui a été pris par la patrouille en direct.
Et comme le bestiau était déjà presque mort, mais seulement presque, j'ai du lui arrêter les frais à coups (deux) de sabre à canne. Youpi...

Pas de batteur pendant un bon moment, et pour cause

Les coupures d'électricité pendant les alertes rouges ont fait une victime, notre ami Joël, batteur de l'harmonie, mais aussi des Souffleurs.
En effet, alors qu'il s'éclairait à la bougie, il a voulu allumer une lampe à gaz. Mais cette lampe avait apparemment une fuite, si bien qu'elle lui a explosé dessus.
Résultat, d'importantes brûlures aux jambes et aux bras, ainsi qu'au torse, si j'ai bien suivi.
Heureusement, rien au visage, pas de morceaux en moins, qu'il s'agisse de doigts ou de zigounette (ben oui).
Quoi qu'il en soit, Joël découvre l'inactivité, la morphine et l'anesthésie générale à chaque lavage de ses plaies.
Il se pourrait qu'on lui fasse des greffes de peau.
Je l'ai eu au téléphone vendredi après-midi : il en aurait pour trois à quatre semaines d'hôpital.

Comme quoi un accident est toujours bête et arrive en quelques fractions de seconde.