Surprise ! J'ai un quasi homonyme. Et il a des dettes.

Hier, j'ai reçu une lettre que j'ai prise d'abord pour un relevé de compte.
Je l'ai ouverte aujourd'hui pour découvrir que je n'aurais pas payé 701,27 Euros à une agence immobilière basée à Tours, à propos d'un appartement situé à Vendôme, petite ville du Loir-et-Cher, comme me l'a appris Wikipédia.
Comment je le sais ?
Eh bien parce qu'un cabinet chargé des recouvrement, situé à Saint-Herblain, Loire-Atlantique (ça, je n'ai pas eu à chercher sur internet pour le savoir) me l'a écrit.
En plus, il y a écrit en gros PROCÉDURE JUDICIAIRE si je ne paye pas dans les huit jours.
Le hic c'est que, si Honoré de Balzac y a passé sept ans comme interne, je n'ai jamais mis les pieds ni les roues, ni rien d'autre d'ailleurs dans le coin.
J'ai donc appelé le cabinet, et on a comme moi supposé que j'avais un (quasi) homonyme. J'ai en effet retrouvé dans les pages blanches quelqu'un avec le même prénom, mais un seul "l" dans la deuxième partie de son nom, domicilié dans le département en question. Cela ne signifie pas que c'est lui le mauvais payeur, mais ça semblerait plus vraisemblable.
Pour ce qui est de la raison pour laquelle on m'a envoyé ce courrier, à moi qui vit à la Réunion depuis 2001, je ne sais pas trop. Peut-être une recherche dans l'annuaire également. Ce qui ets curieux, c'est que, dans la lettre, mon nom est écrit en un seul mot, mais avec les deux "l"

Quoi qu'il en soit, il faut que je retourne la lettre, en précisant qu'il s'agit d'un homonyme.